Zazu Challenge : le bilan !

Il y a quelques semaines, je vous proposais de m’accompagner dans un défi sportif tout au long du mois de février ! 28 jours ont passé et il est temps de dresser le bilan de ce Zazu Challenge.
Annonce et lancement du challenge
16 janvier : après quelques jours de réflexion personnelle, je me décide à partager sur Instagram, mon défi de février et à inviter ceux qui le souhaitent à se joindre à moi dans cette aventure. Quelques heures plus tard, je compte déjà des dizaines de motivés ! Je suis sous le choc.
Quelle surprise pour moi de constater que derrière un nombre d’abonnés, il y a bel et bien des personnes, des êtres humains qui sont là, qui me suivent, m’écoutent et accordent de l’intérêt à ce que je propose. C’est une belle claque de bienveillance que je me prends en pleine tête !
Les jours qui suivent, je vous sollicite pour déterminer le hashtag du challenge. 21 janvier : le Zazu Challenge est officiellement né !
Chaque jour qui passe répand la nouvelle sur les réseaux sociaux et le nombre de challengers augmentent petit à petit. Malgré cet engouement, mon manque de confiance me chuchote dans un coin de la tête : “ça se trouve personne ne le fera ton défi le jour J”.
Cette mauvaise voix avait tout faux…
28 jours de challenge collectif, ça donne quoi ?

Mon bilan personnel

Au-delà des chiffres, la réalisation de ce challenge m’aura appris 3 choses importantes :
- Je suis victime de flemme. En me forçant à bouger, j’ai toujours réussi à caser au moins 20 minutes d’activité dans ma journée, même à 23h, à la maison, avant de filer au lit et quand l’envie était complètement absente…
- Pratiquer une activité tous les jours a réduit mes douleurs articulaires. Durant 28 jours je n’ai pas ressenti de douleurs particulières malgré l’augmentation de la fréquence d’entraînements. En comparaison, après les quelques jours de repos que je me suis accordé post-challenge, j’ai constaté un retour de mes douleurs aux genoux.
- Les réseaux sociaux sont des outils hyper-puissants pour promouvoir le sport, diffuser de la motivation et partager avec les autres !
L’après challenge : c’est quoi la suite ?
Même si le lancement d’un challenge comme celui-ci ne demande pas tant de travail, sa gestion prend un temps fou !
J’ai lâché mon tableau de suivi quotidien au bout de 4 jours et j’ai essayé au mieux de screener toutes vos storys, de liker et commenter vos posts quotidiens… Je vous laisse imaginer le nombre de notifications que j’ai pu recevoir en 28 jours… Mon téléphone a chauffé ! Même si ce n’était pas évident à gérer tous les jours du fait de mon emploi du temps professionnel et personnel… j’ai adoré cette expérience de partage ! Le partage de motivation c’est une force d’Instagram. Et je suis fière d’avoir pu apporter ma petite pierre de motivation à cet édifice. Fière d’avoir réussi à vous motiver pendant 28 jours par cette simple idée. C’était 28 jours dingues !
Face à votre enthousiasme pour de futurs challenges, je réfléchis déjà à une deuxième édition du Zazu Challenge pour l’année prochaine ! D’autres idées de challenges me trottent également en tête. Mais chaque chose en son temps.
Ce que j’aimerai mettre en place ou améliorer pour la 2ème édition :
- Une meilleure préparation du challenge en amont (car celui-ci est sorti de mon cerveau sans prévenir et les choses se sont enchaînées rapidement ensuite)
- Organiser un événement de lancement du challenge
- Proposer davantage de rendez-vous pour réaliser des séances ensemble tout au long du mois
- Une plus large diffusion du défi pour que, la promotion du sport au quotidien et ses bienfaits, aient toujours plus de portée grâce aux réseaux sociaux !
- Vous envoyer encore plus de motivation au quotidien
- Une meilleure gestion du suivi de vos séances
- Vous gâter encore plus à la fin !
Soyez surs que le Zazu Challenge n°2 sera au rendez-vous l’année prochaine, avec une belle préparation et plein de surprises !

Comments
Trackbacks & Pingbacks
[…] au succès de la première édition en février 2019, le Zazu Challenge fait son grand retour ! Et cette année, ce ne sont pas 28 […]